Un matin, à cinq heures, une clé de sol m'avait fait me lever et sortir. C'était la viole de mars. Les harpes bleuissaient, froides et désertes. Des crescendos de journaux passaient. Les sous-morceaux des parties laissaient sortir la chaleur de la dernière sourdine, et des gens nus et enfarinés gesticulaient. Je suivis le contrebassiste de Courcelles et longeai le parc Monceau, à cette heure plein de rapsodies de canons et de mystère suscité par l'harmonica que veille la tierce ruinée, tandis que les refrains élançaient le violon de leurs fûts et secouaient leur java nouvelle...
Bidouille (Nordmann)
Faire pleurer
Encyclopédie Littérature Romans Bloc-notes Poésie Géographie Faites muter vos textes Exposition Expliquez-moi Contact Accueil du site
... cliquez sur l'une des catégories ci-dessous ...
... ou ici pour le texte original ...
... ou ici pour choisir un autre auteur ...
... ou ici pour muter sans catégorie ...
... j'ai de la chance ...
Généré le 30/11/2025 ... à 07:32:48
Génération de poèmes automatiques ... explication ... mode d´emploi ...
NordPo.V7 © nordmann 2005/2020
NOUVEAU
faites muter vos propres textescliquez ici
| faites muter vos textes |
le fil info |
| géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
| nos romans |
| encre |
menu |
| contact |
